Jouez-vous régulièrement aux jeux de casino ? Si tel est le cas, vous n’avez pas pu passer à côté de certaines des informations les plus croustillantes en ce qui concerne le secteur des jeux d’argent. En effet, l’année 2018 semble être une année particulièrement intéressante, car elle sera le théâtre de certains changements importants dans le secteur des jeux d’argent en ligne si ces rumeurs sont avérées.
Que faut-il attendre du secteur des jeux d’argent en ligne en 2018 ?
Pendant de nombreuses années, l’État français a toujours été le principal fournisseur en matière de jeu d’argent. Selon toute vraisemblance cet état de fait serait sur le point de changer. En effet, certaines rumeurs parlent de nouvelles comme :
- la privatisation de la FDJ ;
- une légalisation des jeux de casino en France ;
- une baisse de la fiscalité en ce qui concerne les jeux d’argent.
Basée principalement sur la volonté du gouvernement d’ouvrir le marché des jeux d’argent, la privatisation de la FDJ devrait apporter un véritable changement dans le secteur. Plusieurs opérateurs de jeu n’étaient pas satisfaits des mesures prises en 2010 avec la création de l’ARJEL. Nombre de divisions de la FDJ sont amenées à être dirigées par des acteurs privés qui pourraient investir énormément d’argent dans ce secteur qui est une perte de vitesse.
Tous les joueurs français le savent, mais la plupart des jeux de casino sont interdits en France. Cette interdiction vise essentiellement à protéger les joueurs des divers dangers liés aux jeux d’argent. Toutefois, nombre de casinos en ligne ont dû se retirer à cause de ces lois. En accroissant le nombre de jeux de casino autorisés, le gouvernement espère convaincre les opérateurs de jeu de revenir en France. Ce retour permettrait également à l’État de bénéficier d’un regain financier non négligeable.
Quand on parle de casino en ligne, le sujet de la fiscalité n’est jamais bien loin. Les opérateurs de jeu en sont particulièrement conscients puisqu’ils doivent payer des taxes qu’ils jugent exorbitantes. Dans la continuité d’une possible privatisation de la FDJ, l’État aimerait réduire la fiscalité dans le secteur des jeux d’argent. Cela permettrait en effet aux opérateurs de jeu d’investir un peu plus dans ce secteur.